En été, vivons dehors !

L’été est une saison propice pour sortir de nos intérieurs, profiter du beau temps, de la nature, respirer pleinement, s’ouvrir au monde et aux autres. Voici autant de piliers que la naturopathie cherche à intégrer dans une hygiène de vie quotidienne, pour tous les bienfaits que cela peut apporter sur la santé générale, tant physique, émotionnelle que mentale.

Vous pouvez profiter de vos vacances ou de vos temps libres pour faire le plein d’ions négatifs, les  » vitamines de l’air  » que l’on trouve particulièrement aux abords des cascades, en bord de mer, à la montagne, dans les forêts de résineux… C’est aussi l’occasion de pratiquer une respiration ample et consciente, qui a des impacts positifs sur de nombreux aspects de la santé : oxygénation des cellules, système respiratoire, digestion, stress…

Les journées qui rallongent et les vacances peuvent aussi être l’occasion de bouger et d’exercer une activité physique plus régulière, ce d’autant plus que l’été est la saison où l’énergie se trouve à son apogée. Marcher dans la nature, nager, faire du vélo, danser, pratiquer le yoga, le Qi-Gong… Tout peut se faire à l’extérieur, afin de décupler les effets positifs sur notre santé.

En choisissant les heures les moins chaudes bien sûr en cas de canicule. C’est parfois difficile de se motiver à se lever un peu plus tôt pour aller faire du sport au lever du soleil mais on se sent tellement bien après que ça vaut vraiment la peine d’essayer !

Cette saison estivale peut aussi être propice pour débuter la pratique de l’hormèse, consistant à renforcer les capacités d’adaptation du corps en l’exposant à des facteurs de stress courts et intenses. Pourquoi ne pas tenter l’exposition au froid par exemple, avec des douches froides, des baignades en rivières ou en lac de montagne ? Non, la Méditerranée au mois de juillet ça ne compte pas, mais vous pouvez garder cette option pour l’hiver en revanche. Là encore, l’essentiel est d’y aller progressivement, en étant à l’écoute de vos capacités et de vos limites, et en laissant au corps un temps de récupération suffisant entre les sollicitations.